JAP HISTO - 1 DB
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En 1943, une armée française se reforme en Afrique du Nord. Elle sera dotée de matériels modernes venus des États-Unis et son programme prévoit la constitution de plusieurs divisions blindées. Finalement, après beaucoup de complications et de retards dans l'arrivée des matériels, seules trois divisions sont constituées, sur le type suivant
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HISTO - 1 DB
En 1943, une armée française se reforme en Afrique du Nord. Elle sera dotée de matériels modernes venus des États-Unis et son programme prévoit la constitution de plusieurs divisions blindées. Finalement, après beaucoup de complications et de retards dans l'arrivée des matériels, seules trois divisions sont constituées, sur le type suivant
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En 1943, une armée française se reforme en Afrique du Nord. Elle sera dotée de matériels modernes venus des États-Unis et son programme prévoit la constitution de plusieurs divisions blindées. Finalement, après beaucoup de complications et de retards dans l'arrivée des matériels, seules trois divisions sont constituées, sur le type suivant :
Cette division s'articule, suivant les normes américaines, en trois groupements tactiques, baptisés du nom américain de « Combat Command ». C'est sous cette forme que les trois divisions françaises seront engagées au cours des opérations de 1944 - 1945.
C'est dans ce contexte que la 1re division blindée (1re DB) est formée le 1er mai 1943. Elle est l'héritière de la brigade légère mécanique (BLM) qui combattit en Tunisie. Le 28 janvier 1943, le général du Vigier (promu le 25 décembre 1942), allait prendre le commandement de cette nouvelle unité en formation. Il avait laissé le commandement de la BLM au général Brossin de Saint-Didier et installé son poste de commandement à Mascara où se trouvait le centre d'organisation des unités blindées.
À l'origine, la 1re DB comprenait un régiment de reconnaissance, le 3e chasseurs d'Afrique, de Constantine ; deux régiments de chars, les 2e et 5e de la même subdivision d'arme, Oran et Maison Carrée ; un quatrième régiment de chasseurs d'Afrique, le 9e, qui constituait l'unité de chasseurs de chars (tanks-destroyers). S'ajoutaient à ces quatre formations, un régiment porté, le 2e zouaves, d'Oran ; le 68e régiment d'artillerie, de Tunisie ; le 88e bataillon du génie, récemment créé à Port-Lyautey, et le 38e groupe de forces terrestres antiaériennes (FTA), de Ténès. Dans le courant du mois de mai 1943 rejoignirent les transmissions et les services. Au mois d'août, le train et un groupe d'escadrons de renfort immédiat. Puis, le 2e chasseurs d'Afrique se dédoubla pour donner naissance au 2e régiment de cuirassiers, dont le numéro était cher au cœur du général du Vigier, qui l'avait commandé en 1940. Il venait d'être promu général de division le 25 août et toutes les forces dont il allait disposer se groupaient autour de Mascara.
Le 2e régiment de zouaves allait disparaître et être remplacé, comme infanterie de la division, par trois bataillons indépendants, appartenant aux 1er, 2e et 3e zouaves, formant demi-brigade. Vint le moment où la division fut définitivement mise sur pied et où elle alla prendre sa place dans les rangs de la 1re armée française alors appelée Armée B et qui allait participer au débarquement de Provence. Les premiers embarquements commencèrent à Oran et à Mers-el-Kébir à la fin du mois de juillet 1944, après diverses pérégrinations. Les bateaux levèrent l'ancre les 10 et 11 août. Le débarquement devait avoir lieu entre Saint-Tropez et Saint-Raphaël. À l'aube du 15 août, une flotte immense était rassemblée au nord-ouest de la Corse se dirigeant vers le nord.
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